On ira, mais qui viendra ?
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Aria
Padma
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On ira, mais qui viendra ?
J'avais mal, alors j'ai écrit...ça faisait longtemps, et ça fait du bien. Ca donne ceci, qui n'est pas très compréhensible, pour moi tout est clair, pour vous tout sera flou, mais cela me délivre d'une certaine manière de le faire lire aux autres. Qu'ils sachent ce qu'il y a à l'intérieur de moi, qu'ils voient que tout n'est pas limpide. J'ai envie que vous aussi vous vous posiez les mêmes questions que moi, alors, essayons .
************************************************
Douleurs du passé. Douleurs du futur. Présent morne, monotone. Je ne sais plus trop quoi faire, je ne sais plus trop où aller, où essayer.
Frustration, déception, bonheur mais colère. Colère contre moi, incapable ou malchanceuse ? Impossible à définir.
Les jours se suivent sans rien apporter, et c’est certainement normal.
Un creux dans le ventre, un manque, mais un manque de quoi ? Peut-être d’être entourée. Douleur lancinante, chanson des tendons dans mon genou meurtri. S’en remettra t-il ? Je crois qu’il m’en veut d’avoir échoué. Mélancolie du glorieux passé.
Elle ne me parle plus comme ça, elle ne me voit plus. Elle m’a oubliée. Elle et elle sont bien plus fortes, elles parlent comme si elles étaient deux. Moi je suis seule et je l’écoute, à quoi bon ? Tissu de mensonges, est-elle aveugle ? Je ne crois pas. Elle se complait dans son désastre d’illusions. Au revoir, reviens un jour si tu y penses, mais pas trop tôt, pas trop tard. Reviens un jour si tu le peux.
Lui n’existe pas, lui je l’attends, lui ne parle pas, il n’est pas là. Qui est-il ? Viendra t-il seulement ?
Un ami dans la brume, sait-il tout ? Il ne me connaît pas. Alors est-ce un ami ? Je le crois. Si j’osais lui parler de cela. Il respire la joie de vivre, ne l’embrouille pas avec ça.
Celle-ci parle, celle-ci écoute et lit, elle conseille, elle pleure, c’est un être sensible à tout va, une fille un peu comme moi. Je lui parle, elle me répond, j’entends longtemps son écho résonner dans ma tête. Soudain, elle me remercie. Et j’en pleure tellement j’ai peur. Sommes nous deux aussi tristes ? Pas pour les mêmes raisons. Mais tout de même, attendons. Si elle partait elle reviendrait, mais elle ne partira pas. Elle a désormais les épaules trempées de mes larmes, j’ai les siennes qui coulent sur mes joues, impossible de le nier.
Inconnue, elle fait semblant. Semblant de parler, d’écouter. Elle en voit tant, elle ne les connaît pas. Pour qui se prend t-elle ? Pour rien. Je ne lui demande pas de s’occuper de moi, mais de s’occuper de lui, ce genou amoché. Que fait-elle ? Elle parle, mais je ne l’écoute plus.
Ciel si creux. Creux ? Oui, et changeant. Déprimant. Il dégouline de lâcheté, de soleil et d’eau, de nuages grondants.
Un peu de musique, pour réjouir nos malheurs. Elle me vrille les tympans, celle qui me plait ce n’est qu’elle, qui me colle à la peau, qui hante mes nuits, elle est triste et lente, elle est calme et repentante, cette musique me fait peur et me rassure à la fois, c’est le diable en personne mais je l’écoute parler, je veux croire ses mensonges.
Elle est partie, reviendra t-elle ? Oui, bien sûr, mais en ai-je vraiment envie ? Elle ne me manque pas, elle s’éloigne de moi. Adieu, bon vent ! Je t’aime bien, mais qui es-tu vraiment ? J’ai peur de faire semblant de t’apprécier. Tu me disputes pour un rien, tu dis que je suis ci, que je suis ça, mais je suis autre chose. Comment peux-tu me connaître si peu, tu as grandi avec moi je crois ? Oh, te pardonnerai-je un jour, pour t’en vouloir autant ?
Lui aussi s’en va, mais il reviendra vite. Il part pour mieux se rapprocher, reculer pour mieux sauter. Parler, parler une autre langue, savourer le plaisir de l’autre part et du chez soi à la fois. Savourer la solitude et l’indépendance.
Si je pouvais grandir plus vite, prendre quelques années subitement, j’y suis prête. Partir loin de tout ça, loin de mes fantômes du passé, de mes rêves sacrifiés.
Ce fut un choix horrible, et un choix regretté. Qu’ai-je fait pour mériter tout cela ? Je pleure sur mes choix et les remords que j’ai je ne les comprends pas. Comment leur en vouloir à eux qui ne me comprennent pas, moi-même je n’ai pas la force de tout savoir. Je prétends être moi tout simplement, mais qui suis-je ? Un reflet dans la glace, mais il ne me voit pas. S’il pouvait prendre vie, il danserait mieux que moi. J’ai faim d’une vie exaltante qui n’arrive pas et je mange mes repos dans l’impatience, je veux réussir et je veux bouger, je m’endors de fatigue inutile, c’est comme frapper les murs qui m’entourent. Des cages de grillage en verre, mais qui ne se brisent pas. J’ai juste la souffrance de désirer l’en-dehors.
Je me lance des défis que je ne réalise pas, je rêve les yeux grand ouverts à l’impossible qui n’existe même pas. L’inatteignable bonheur évident, l’inatteignable rêve réel de la vie si simple. Pourquoi se tuer à y croire, si cela n’existe pas ? Mais pourquoi d’autres y auraient droit ? Ecrire des livres c’est mentir des fois. C’est donner l’illusion, c’est faire réagir, faire penser, c’est convaincre. Un livre c’est la propagande de ce que l’on est, de ce que l’on veut dire. Un livre c’est un morceau de soi.
Une musique pour du bruit, pour ne pas entendre ce silence.
Où est-elle ? Celle-ci n’a plus de voix. A t-elle disparu ? Je ne la remplace pas.
Celles-ci rient, elles parlent mais je ne les crois pas. Elles existent sans vivre avec moi, je les aime comme ça. Elles ne partiront pas, pas sans moi.
Celle-là ne pense plus, plus à moi, et avec l’autre qui est partie et qui revient déjà, ce ne sont plus ces celles-là, mais des celles-ci, que je ne vois même pas.
Je pense que je ne pense pas. Je dis des âneries mais je ne les lis pas. Je ris toute seule pour ne pas pleurer. Il est rare que je sois sage. Dans peu de temps on pourra me recadrer. Me sentirai-je mieux ? On verra. J’ai l’impression de flotter, d’être à côté de moi. Qui est cette jeune fille ? C’est une celle-là, une qui parle et qui répond mais qui ne sait pas. Elle partira avec moi.
Et tous ces ceux là, ces ceux-ci, ces gens là qui m’aiment, qui parlent et qui répondent, qui rient et pleurent, mais que je n’entends pas et que je ne vois pas. Ils sont eux et je suis ce que je suis, ou peut-être pas. Je ne les oublierai pas, ils sont là avec moi, ils sont là même sans moi, ils sont là comme moi. Peut-être attendent-ils eux aussi cet étrange train qui n’existe pas. Drôle d’idée, prendre un train vers le bonheur. Cela me plait, cela me fait penser à ça, ce livre de mon enfance. Il y avait bien un train vers le paradis. Mais j’ai peur qu’il ne vienne pas.
Il y avait la pluie qui tombait, encore je souriais, maintenant je pleure comme le soleil brille, c’est à n’y rien comprendre. Sera ou ne sera pas. Être ou ne pas être, c’était bien une question. C’est assez similaire, pourtant quelle drôle de situation. Être bien sûr, mais pourquoi ?
Etrange mal de tête, au dessus des oreilles. On me serre, on me tient, on me retient ! Laissez moi partir, laissez moi aller ! Comme une feuille dans le vent. Patience mon enfant, ce ne seront que deux longues années. Tu vivras et tu vaincras. On ira toi et moi.
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Douleurs du passé. Douleurs du futur. Présent morne, monotone. Je ne sais plus trop quoi faire, je ne sais plus trop où aller, où essayer.
Frustration, déception, bonheur mais colère. Colère contre moi, incapable ou malchanceuse ? Impossible à définir.
Les jours se suivent sans rien apporter, et c’est certainement normal.
Un creux dans le ventre, un manque, mais un manque de quoi ? Peut-être d’être entourée. Douleur lancinante, chanson des tendons dans mon genou meurtri. S’en remettra t-il ? Je crois qu’il m’en veut d’avoir échoué. Mélancolie du glorieux passé.
Elle ne me parle plus comme ça, elle ne me voit plus. Elle m’a oubliée. Elle et elle sont bien plus fortes, elles parlent comme si elles étaient deux. Moi je suis seule et je l’écoute, à quoi bon ? Tissu de mensonges, est-elle aveugle ? Je ne crois pas. Elle se complait dans son désastre d’illusions. Au revoir, reviens un jour si tu y penses, mais pas trop tôt, pas trop tard. Reviens un jour si tu le peux.
Lui n’existe pas, lui je l’attends, lui ne parle pas, il n’est pas là. Qui est-il ? Viendra t-il seulement ?
Un ami dans la brume, sait-il tout ? Il ne me connaît pas. Alors est-ce un ami ? Je le crois. Si j’osais lui parler de cela. Il respire la joie de vivre, ne l’embrouille pas avec ça.
Celle-ci parle, celle-ci écoute et lit, elle conseille, elle pleure, c’est un être sensible à tout va, une fille un peu comme moi. Je lui parle, elle me répond, j’entends longtemps son écho résonner dans ma tête. Soudain, elle me remercie. Et j’en pleure tellement j’ai peur. Sommes nous deux aussi tristes ? Pas pour les mêmes raisons. Mais tout de même, attendons. Si elle partait elle reviendrait, mais elle ne partira pas. Elle a désormais les épaules trempées de mes larmes, j’ai les siennes qui coulent sur mes joues, impossible de le nier.
Inconnue, elle fait semblant. Semblant de parler, d’écouter. Elle en voit tant, elle ne les connaît pas. Pour qui se prend t-elle ? Pour rien. Je ne lui demande pas de s’occuper de moi, mais de s’occuper de lui, ce genou amoché. Que fait-elle ? Elle parle, mais je ne l’écoute plus.
Ciel si creux. Creux ? Oui, et changeant. Déprimant. Il dégouline de lâcheté, de soleil et d’eau, de nuages grondants.
Un peu de musique, pour réjouir nos malheurs. Elle me vrille les tympans, celle qui me plait ce n’est qu’elle, qui me colle à la peau, qui hante mes nuits, elle est triste et lente, elle est calme et repentante, cette musique me fait peur et me rassure à la fois, c’est le diable en personne mais je l’écoute parler, je veux croire ses mensonges.
Elle est partie, reviendra t-elle ? Oui, bien sûr, mais en ai-je vraiment envie ? Elle ne me manque pas, elle s’éloigne de moi. Adieu, bon vent ! Je t’aime bien, mais qui es-tu vraiment ? J’ai peur de faire semblant de t’apprécier. Tu me disputes pour un rien, tu dis que je suis ci, que je suis ça, mais je suis autre chose. Comment peux-tu me connaître si peu, tu as grandi avec moi je crois ? Oh, te pardonnerai-je un jour, pour t’en vouloir autant ?
Lui aussi s’en va, mais il reviendra vite. Il part pour mieux se rapprocher, reculer pour mieux sauter. Parler, parler une autre langue, savourer le plaisir de l’autre part et du chez soi à la fois. Savourer la solitude et l’indépendance.
Si je pouvais grandir plus vite, prendre quelques années subitement, j’y suis prête. Partir loin de tout ça, loin de mes fantômes du passé, de mes rêves sacrifiés.
Ce fut un choix horrible, et un choix regretté. Qu’ai-je fait pour mériter tout cela ? Je pleure sur mes choix et les remords que j’ai je ne les comprends pas. Comment leur en vouloir à eux qui ne me comprennent pas, moi-même je n’ai pas la force de tout savoir. Je prétends être moi tout simplement, mais qui suis-je ? Un reflet dans la glace, mais il ne me voit pas. S’il pouvait prendre vie, il danserait mieux que moi. J’ai faim d’une vie exaltante qui n’arrive pas et je mange mes repos dans l’impatience, je veux réussir et je veux bouger, je m’endors de fatigue inutile, c’est comme frapper les murs qui m’entourent. Des cages de grillage en verre, mais qui ne se brisent pas. J’ai juste la souffrance de désirer l’en-dehors.
Je me lance des défis que je ne réalise pas, je rêve les yeux grand ouverts à l’impossible qui n’existe même pas. L’inatteignable bonheur évident, l’inatteignable rêve réel de la vie si simple. Pourquoi se tuer à y croire, si cela n’existe pas ? Mais pourquoi d’autres y auraient droit ? Ecrire des livres c’est mentir des fois. C’est donner l’illusion, c’est faire réagir, faire penser, c’est convaincre. Un livre c’est la propagande de ce que l’on est, de ce que l’on veut dire. Un livre c’est un morceau de soi.
Une musique pour du bruit, pour ne pas entendre ce silence.
Où est-elle ? Celle-ci n’a plus de voix. A t-elle disparu ? Je ne la remplace pas.
Celles-ci rient, elles parlent mais je ne les crois pas. Elles existent sans vivre avec moi, je les aime comme ça. Elles ne partiront pas, pas sans moi.
Celle-là ne pense plus, plus à moi, et avec l’autre qui est partie et qui revient déjà, ce ne sont plus ces celles-là, mais des celles-ci, que je ne vois même pas.
Je pense que je ne pense pas. Je dis des âneries mais je ne les lis pas. Je ris toute seule pour ne pas pleurer. Il est rare que je sois sage. Dans peu de temps on pourra me recadrer. Me sentirai-je mieux ? On verra. J’ai l’impression de flotter, d’être à côté de moi. Qui est cette jeune fille ? C’est une celle-là, une qui parle et qui répond mais qui ne sait pas. Elle partira avec moi.
Et tous ces ceux là, ces ceux-ci, ces gens là qui m’aiment, qui parlent et qui répondent, qui rient et pleurent, mais que je n’entends pas et que je ne vois pas. Ils sont eux et je suis ce que je suis, ou peut-être pas. Je ne les oublierai pas, ils sont là avec moi, ils sont là même sans moi, ils sont là comme moi. Peut-être attendent-ils eux aussi cet étrange train qui n’existe pas. Drôle d’idée, prendre un train vers le bonheur. Cela me plait, cela me fait penser à ça, ce livre de mon enfance. Il y avait bien un train vers le paradis. Mais j’ai peur qu’il ne vienne pas.
Il y avait la pluie qui tombait, encore je souriais, maintenant je pleure comme le soleil brille, c’est à n’y rien comprendre. Sera ou ne sera pas. Être ou ne pas être, c’était bien une question. C’est assez similaire, pourtant quelle drôle de situation. Être bien sûr, mais pourquoi ?
Etrange mal de tête, au dessus des oreilles. On me serre, on me tient, on me retient ! Laissez moi partir, laissez moi aller ! Comme une feuille dans le vent. Patience mon enfant, ce ne seront que deux longues années. Tu vivras et tu vaincras. On ira toi et moi.
Dernière édition par Padma le Mar 2 Sep - 18:34, édité 1 fois
Padma- Ecrivain
- Nombre de messages : 121
Age : 30
Date d'inscription : 03/06/2008
Re: On ira, mais qui viendra ?
Euh ^^'
Bon, il y a deux trois trucs que je comprends, pour savoir que tu m'en as parlé, mais d'autres restent indisciblement floues.
Mais libre à toi de faire le choix de parler ou de n'en pas parler.
Bon, si c'était juste comme ça, alors, je ferais mine de ne pas m'en inquiéter.
En ce qui concerne le style, tes pensées enchevêtrées dans un raz-le-bol assez ressenti sont bien exprimées, toujours avec des mots que j'apprécie.
Fin.
Bon, il y a deux trois trucs que je comprends, pour savoir que tu m'en as parlé, mais d'autres restent indisciblement floues.
Mais libre à toi de faire le choix de parler ou de n'en pas parler.
Bon, si c'était juste comme ça, alors, je ferais mine de ne pas m'en inquiéter.
En ce qui concerne le style, tes pensées enchevêtrées dans un raz-le-bol assez ressenti sont bien exprimées, toujours avec des mots que j'apprécie.
Fin.
Re: On ira, mais qui viendra ?
A mon tour, alors...
J'ai tout lu de bout en bout, et je n'ai pas décroché, parce que je voulais comprendre.
Certaines choses, je crois les comprendre, mais comme je ne suis sûr de rien, je m'abstiens de donner mon avis sur le fond du texte.
Par contre, j'suis d'accord avec toi !
Moi aussi, quand ça va mal, écrire me fait beaucoup de bien. Au fur et à mesure que mon texte avance, je me sens de mieux en mieux, même si ce n'est que temporaire.
Bref, tu nous as pondu un beau texte mais dont le fond m'échappe quelque peu.
J'ai tout lu de bout en bout, et je n'ai pas décroché, parce que je voulais comprendre.
Certaines choses, je crois les comprendre, mais comme je ne suis sûr de rien, je m'abstiens de donner mon avis sur le fond du texte.
Par contre, j'suis d'accord avec toi !
Moi aussi, quand ça va mal, écrire me fait beaucoup de bien. Au fur et à mesure que mon texte avance, je me sens de mieux en mieux, même si ce n'est que temporaire.
Bref, tu nous as pondu un beau texte mais dont le fond m'échappe quelque peu.
Re: On ira, mais qui viendra ?
alors:
j'ai l'impression de comprendre certaines parties, mais la plupart de ton texte reste, effectivement, très obscure.Sinon, j'aime toujours autant ton style.Et je trouve cette nouvelle très belle.
j'ai l'impression de comprendre certaines parties, mais la plupart de ton texte reste, effectivement, très obscure.Sinon, j'aime toujours autant ton style.Et je trouve cette nouvelle très belle.
Nutelléna- Nouveau
- Nombre de messages : 18
Age : 31
Date d'inscription : 28/06/2008
Re: On ira, mais qui viendra ?
L'écriture comme thérapie, pourquoi pas? C'est un moyen comme un autre de faire sortir ses angoisses, par contre j'admire ton courage pour nous livrer des choses si personnelles, même si on comprend pas tout. ça doit être bien d'écrire juste comme ça, juste pour soi. J'ai reconnu pas mal de questions que je me posais aussi, mais moi je ne me torture pas l'esprit avec ça, j'ai décidé de prendre la vie comme elle vient, on ne peut pas changer le passé, seulement s'en souvenir pour ne pas refaire les mêmes erreurs. Par contre, on ne peut pas prévoir le futur, alors autant ne pas s'en faire pour ça et l'aborder avec sérénité: advienne que pourra. Enfin, ça c'est l'état d'esprit que j'essaie d'avoir. Je ne veux pas me gacher le présent à cause du futur, il arrivera en temps voulu.
Sinon j'aime bien ce style d'écriture, on suit le cours de tes pensées un peu décousues et se laisse porter par elles...C'est agréable à lire, on suit sans forcément chercher à comprendre et c'est tant mieux.
Sinon j'aime bien ce style d'écriture, on suit le cours de tes pensées un peu décousues et se laisse porter par elles...C'est agréable à lire, on suit sans forcément chercher à comprendre et c'est tant mieux.
Re: On ira, mais qui viendra ?
Alors... pour une fois, je vais pas faire ma difficile, parce que je suis d'accord avec tout le monde !
... d'accord avec Aria et Nutelléna, je crois comprendre certaines parties mais la majeure partie du texte reste floue...
... d'accord avec Sehaltiel : je ne dirais rien... Ces parties que je crois comprendre, je n'en suis vraiment pas sûre, alors je vais me taire.
...d'accord avec Ryn et Sehaltiel à nouveau pour dire que ça fait vraiment du bien d'écrire quand on n'est pas bien...
Je dois dire, comme tout le monde, que ce texte est très beau, bien exprimé, et c'est tout à fait ce style d'écriture bien à toi, qui nous oblige à pousser la réflexion un peu plus loin.
Une question pourtant :
Pourquoi être aussi déprimée, petite Pad ??????
... d'accord avec Aria et Nutelléna, je crois comprendre certaines parties mais la majeure partie du texte reste floue...
... d'accord avec Sehaltiel : je ne dirais rien... Ces parties que je crois comprendre, je n'en suis vraiment pas sûre, alors je vais me taire.
...d'accord avec Ryn et Sehaltiel à nouveau pour dire que ça fait vraiment du bien d'écrire quand on n'est pas bien...
Je dois dire, comme tout le monde, que ce texte est très beau, bien exprimé, et c'est tout à fait ce style d'écriture bien à toi, qui nous oblige à pousser la réflexion un peu plus loin.
Une question pourtant :
Pourquoi être aussi déprimée, petite Pad ??????
Milie- Correctrice
- Nombre de messages : 233
Age : 31
Date d'inscription : 02/06/2008
Re: On ira, mais qui viendra ?
Maiiiiiis arretez les gens je suis pas déprimée J'écris pour ne pas déprimer
Et merci pour vos commentaires sur mon style...
Sinon pour info, un concours est né A vous de m'envoyer les prénoms des gens qui vont avec les paragraphes où ils sont cités !
Celui qui aura tout trouvé sera mon dieu/ma déesse pendant toute une semaine, comme l'a été Milie^^
Si quelqu'un me donne le titre et/ou le groupe qui a composé la musique qui m'a pris la tête toute la nuit aura toute mon estime
Bref, amusez vous bien !!!*rire sadique*
Et merci pour vos commentaires sur mon style...
Sinon pour info, un concours est né A vous de m'envoyer les prénoms des gens qui vont avec les paragraphes où ils sont cités !
Celui qui aura tout trouvé sera mon dieu/ma déesse pendant toute une semaine, comme l'a été Milie^^
Si quelqu'un me donne le titre et/ou le groupe qui a composé la musique qui m'a pris la tête toute la nuit aura toute mon estime
Bref, amusez vous bien !!!*rire sadique*
Padma- Ecrivain
- Nombre de messages : 121
Age : 30
Date d'inscription : 03/06/2008
Re: On ira, mais qui viendra ?
Ok !
Alors comme réponse aux personnes citées, je dirais que ce n'est pas moi.
Et pour la musique, je pense que y'avait du son et des notes !
Tu ne peux pas dire que j'ai tort, puisque j'ai raison, mais je suppose que ça ne suffit pas ? XD
Alors comme réponse aux personnes citées, je dirais que ce n'est pas moi.
Et pour la musique, je pense que y'avait du son et des notes !
Tu ne peux pas dire que j'ai tort, puisque j'ai raison, mais je suppose que ça ne suffit pas ? XD
Re: On ira, mais qui viendra ?
Non ça ne suffit pas Mais bon...tu peux être mon valet pendant une semaine parce que tu as du répondant^^
Padma- Ecrivain
- Nombre de messages : 121
Age : 30
Date d'inscription : 03/06/2008
Re: On ira, mais qui viendra ?
T'es trop gentille et c'est tentant...
Mais non !
Je vais plutôt m'occuper à écrire mon histoire, si ça ne te dérange pas.
Mais non !
Je vais plutôt m'occuper à écrire mon histoire, si ça ne te dérange pas.
Re: On ira, mais qui viendra ?
euh...
Pour la musique, je zappe... mais si j'en avais le temps, je pourrais peut-être trouver toutes les personnes, si je les connaissais bien sûr... mais je n'ai pas que ça à faire !
(on est en L, alors on travaille beaucoup !^^)
Pour la musique, je zappe... mais si j'en avais le temps, je pourrais peut-être trouver toutes les personnes, si je les connaissais bien sûr... mais je n'ai pas que ça à faire !
(on est en L, alors on travaille beaucoup !^^)
Milie- Correctrice
- Nombre de messages : 233
Age : 31
Date d'inscription : 02/06/2008
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