Mon cœur, dans le creux de tes mains
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Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Padma Mer 4 Juin - 19:33
Je marchais dans l’ombre sans savoir où aller. Où ? Une question de plus. Le pourquoi, lui, ne se posait plus malheureusement. Il aurait fallu qu’elle me dise ça avant, avant que je ne l’aime, avant qu’elle ne s’empare de moi. Je ne peux plus vivre désormais. Elle marchait elle aussi, loin de moi et plus proche de lui. Lui ? Qui ? Une question encore qui reste sans réponse. Je lui en veux et elle aussi je crois. Que reste t-il à faire ? Pas grand chose tu le sais. Tu reviendras un jour quand moi je ne serai plus là. Où ? Là-bas. Loin du monde réel. Là où chaque rêve prend un virage important, là où le temps peut se retourner à chaque instant et alors tout change tellement. Là où tu ne me rejoindras jamais, là où tu iras un jour quand moi je n’y serai plus.
Je marchais dans l’ombre, seuls mes pas me guidaient. Comme mon cœur ne battait plus après toi, comme il battit plus fort pour elle, à droite à gauche, écrasant mes poumons, je suffoquais. Mon cerveau trop aéré ne pouvait plus raisonner. La folie m’avait gagné depuis longtemps. Mon corps qui n’attendait plus qu’elle, dans chaque pore de ma peau, et mes tripes qui s’arrachaient, mon cœur déchiré qui saignait à flots, j’allais mourir et je marchais encore alors que personne ne pouvait plus me sauver. Les passants me regardaient passer l’œil atone, comme si je ne souffrais pas toute cette douleur. Non je ne souffrais plus tellement, j’avais mal, toi tu mourais de peur et de cette soif de la vie. Elle, avec lui, si près tous les deux, ensemble et heureux, souriait, ne savait rien.
Je marchais dans la lumière qui me brûlait la peau, tout sur Terre me blessait au plus profond de moi. Le soleil incandescent dégoulinait d’horreur, il cramait les souvenirs d’elle que j’avais. Il éclairait tous ceux de toi qui me poignardaient eux aussi, encore une fois. Lui ne savait rien, il ne voulait pas savoir, j’étais l’homme qu’il ne connaissait pas.
Je marchais dans les rues vides de vie. Celle-ci n’était plus vraiment vécue par aucun de nous. C’est l’amour qui la prend et qui s’en repaît. Nous, nous mourons de faim, sans la vie il n’y a plus d’amour, et sans amour il n’y a plus rien. Les pavés inondés de la lumière du seul lampadaire qui devait sauvegarder un peu du jour sur notre planète semblaient pleurer eux aussi, pleurer du sang si noir comme la nuit qui les recouvrait jusqu’au lendemain matin. Glissants, humides et visqueux, eux aussi mouraient, ils sombraient au plus profond, ils s’enfonçaient dans les ténèbres. Vais-je mourir cette nuit ? Question inutile. Réponse inutile. Rideau. Hors jeu. A demain.
Je marche encore et je peux vivre pour toi peut-être, mais je ne sais plus où je suis. Toi non plus tu ne le sais pas, tu m’as suivi. Je t’aime peut-être un peu mais mon cœur n’est plus. Je vis mais loin de tout, je plane un peu, je peux voler mais je ne veux pas. Mes pensées suivent un chemin qui monte vers le ciel, je ne les contrôle pas, elles s’envolent comme des oiseaux d’innocence perdue battant des ailes sans le vouloir, des oiseaux chapardeurs qui ont volé ces précieuses pensées qui m’envahissent. Elles remontent des orteils, elles glacent les veines de mes cuisses, elles font crépiter le bas de mon ventre et remplissent mon estomac d’un vide compact. Puis elles le retournent, elles l’écrasent et je me sens si mal, elles remontent et débordent dans le vide, là où n’est plus mon cœur, elles font exploser ma cage thoracique qui s’en va dans tous les sens, mes côtes transpercent ma peau. La nausée m’envahit. Mes poumons explosent, ils remontent dans ma gorge. Celle-ci, trop étroite, se resserre encore et fait barrage à mes pensées. Je m’étouffe et mes idées ne viennent plus jamais. Elles redescendent alors dans mon bras qui frémit, puis dans la paume de ma main qui me picote dangereusement. Je saisis mon crayon et je t’écris tout ça, même si tu ne le liras jamais, même si cela ne te regarde pas, et même si je ne veux pas que tu le saches parce que je ne suis plus un homme, je ne suis plus rien. Mais je n’ai pas le choix. Mes pensées sont de glace ou de cristal. Elles transpercent mon corps de toute part, elles me font tant souffrir.
Je m’arrête un instant pour tenter de te dire de t’en aller, et je m’entends dire ces mots qui me ressemblent si peu. Je t’aime, je ne peux pas vivre sans toi. Va chercher mon cœur là bas s’il te plait, conserve le avec soin dans le creux de tes mains, ramène-le moi et je t’en donnerai un peu, tu pourras en garder à jamais entre les formes de tes minuscules seins. Va, il est loin, mais je t’attendrai, je peux vivre un peu encore j’ai déjà vécu si longtemps. Je saigne mais je peux survivre un moment. Va, je t’aime encore plus si je pense que c’est toi, et toi seule qui pourra me sauver sans mourir à ma place. C’est là-bas, près de lui, il y a elle, mais il faudra d’abord le convaincre pour pouvoir l’approcher. Il faudra la forcer à te rendre mon cœur, elle l’a volé. Attention ne te trompe pas, le mien est d’un rouge violacé, il est percé par plusieurs endroits. Il saigne à flot et il te tâchera les mains. Il te faudra l’arracher puis bien en prendre soin. Si tu caresses les veines palpitantes je t’aimerai plus encore, ce sera si doux et si léger. Tu pourras tendrement retirer chacune des épingles qui y sont plantées, tu le feras délicatement pour ne pas me blesser. Fais attention à moi, c’est ma vie que tu tiendras dans tes mains et tu pourrais l’anéantir si tu habites quelque rage. Mais je te fais confiance, prouve moi que j’ai raison, donne moi l’occasion de t’aimer pour de vrai, à ta juste valeur. Tu soulèveras une oreillette, et en dessous bien au chaud tu te verras. Dans l’aorte ce sera elle, tu pourrais retirer chaque racine qu’elle a plantée en moi, mais j’aurais mal alors ne le fais pas, je t’en conjure. Agrippé aux parois du sillon ce sera lui qui me griffera, lui qui me fait si mal, tu pourras l’écraser lentement entre ton index si fin et ton pouce si mignon. Ce sera un soulagement pour moi, une victoire pour toi. Tu verras, la vie a du bon.
Je n’ai rien voulu dire de tout cela mais tu m’as écouté et c’est trop tard désormais, tu es déjà sur leurs traces. Mon cœur reviendra peut-être, je survivrai si tu te dépêches. Je t’ai fait tant de promesses, j’espère les tenir mais j’ai peur déjà car tout recommence. Le monde reprend quelques couleurs alors que moi je suis si pâle. Le ciel est si bleu et le soleil m’éblouit. Il brille et ne s’éteint jamais. Il voyage autour du monde, il n’est pas amoureux, il n’est pas malheureux. Ma main voudrait serrer la tienne mais c’est sur le vide qu’elle se referme. Je me sens si seul, seul comme jamais et j’ai peur, ma vie, mon cœur, mon bonheur sont entre tes mains et je ne sais plus si je dois te faire confiance. Même après voudras-tu bien de moi ? Je t’ai fait tant de mal, j’ai peur que tu me haïsses. Le ciel vacille, la Terre remue dans tous les sens. J’ai le mal de mer, allongé sur le sol, je dégueule tout ce que je ne peux plus voir par terre, je meurs dedans, dans mon sang et mes regrets qui sont sortis de l’estomac. Je n’ai rien mangé d’autre que du noir, du désespoir et de la haine depuis tant d’années, ma digestion a mal tourné. Peut-être que l’amour et l’eau fraîche sont finalement de meilleurs sentiments, peut-être aussi intenses et un peu moins douloureux.
Mon cerveau ne fonctionne plus, je ne pense plus à rien, sauf à toi et tes courbes gracieuses. Tes mains fines et blanches, tes poignets délicats, tes bras entre lesquels ma tête se logeait si souvent. Ta poitrine à la peau claire, ton ventre plat, tes minces mollets. Tes chevilles, tes pieds, tout le long de ton corps je descendais, tout en toi m’accaparait, tu me hantes encore. Ton visage dont je connais chaque détail, tes yeux si grands, tes pupilles écarquillées, tes iris bleus et parsemés d’étoiles. Tes longs cils battants, caressant ma joue si près d’eux. Ton nez retroussé et tes joues creusées par les larmes, mouchetés de taches rousses que ni l’eau ni le temps ne peuvent effacer. Toi, ton âme, ton corps, mais surtout ton amour débordant.
Je t’attends depuis longtemps déjà. Je sens que mon cœur bat entre tes mains, mais moi je pars, je vole là haut loin au dessus de toi. Tu cours, tes ongles plantés dans mon cœur lacéré et mourant, déchiré de toutes parts. Tu dégoulines de mon sang rouge d’amour et de douleur, tu pleures, tes larmes roulent sur tes joues et brûlent mes plaies. Mon cœur est consumé, c’est terminé désormais. La vie est belle mais elle est si courte. Tu t’agenouilles à mes côtés et tu déposes mon cœur sur ma poitrine. Il saigne encore, il imbibe mes vêtements. Humides, ils collent à ma peau, j’ai l’impression d’être si près de toi. Tu déposes ta tête dans le creux de mon cou, tes cheveux mouillés de larmes et salis de mon sang glissent sur ma joue. Ta chaleur se répand dans mon corps, tout à côté me paraît dérisoire. Je meurs mais je t’aime tellement.
C’est trop tard, le goût amer de la mort se répand dans ma bouche, c’est dans tes bras que je rendrai mon dernier souffle. Il ne te reste plus qu’à les chercher une nouvelle fois pour moi. Venge nous, je t’aime, et je ne t’oublierai pas.
Je marchais dans l’ombre, seuls mes pas me guidaient. Comme mon cœur ne battait plus après toi, comme il battit plus fort pour elle, à droite à gauche, écrasant mes poumons, je suffoquais. Mon cerveau trop aéré ne pouvait plus raisonner. La folie m’avait gagné depuis longtemps. Mon corps qui n’attendait plus qu’elle, dans chaque pore de ma peau, et mes tripes qui s’arrachaient, mon cœur déchiré qui saignait à flots, j’allais mourir et je marchais encore alors que personne ne pouvait plus me sauver. Les passants me regardaient passer l’œil atone, comme si je ne souffrais pas toute cette douleur. Non je ne souffrais plus tellement, j’avais mal, toi tu mourais de peur et de cette soif de la vie. Elle, avec lui, si près tous les deux, ensemble et heureux, souriait, ne savait rien.
Je marchais dans la lumière qui me brûlait la peau, tout sur Terre me blessait au plus profond de moi. Le soleil incandescent dégoulinait d’horreur, il cramait les souvenirs d’elle que j’avais. Il éclairait tous ceux de toi qui me poignardaient eux aussi, encore une fois. Lui ne savait rien, il ne voulait pas savoir, j’étais l’homme qu’il ne connaissait pas.
Je marchais dans les rues vides de vie. Celle-ci n’était plus vraiment vécue par aucun de nous. C’est l’amour qui la prend et qui s’en repaît. Nous, nous mourons de faim, sans la vie il n’y a plus d’amour, et sans amour il n’y a plus rien. Les pavés inondés de la lumière du seul lampadaire qui devait sauvegarder un peu du jour sur notre planète semblaient pleurer eux aussi, pleurer du sang si noir comme la nuit qui les recouvrait jusqu’au lendemain matin. Glissants, humides et visqueux, eux aussi mouraient, ils sombraient au plus profond, ils s’enfonçaient dans les ténèbres. Vais-je mourir cette nuit ? Question inutile. Réponse inutile. Rideau. Hors jeu. A demain.
Je marche encore et je peux vivre pour toi peut-être, mais je ne sais plus où je suis. Toi non plus tu ne le sais pas, tu m’as suivi. Je t’aime peut-être un peu mais mon cœur n’est plus. Je vis mais loin de tout, je plane un peu, je peux voler mais je ne veux pas. Mes pensées suivent un chemin qui monte vers le ciel, je ne les contrôle pas, elles s’envolent comme des oiseaux d’innocence perdue battant des ailes sans le vouloir, des oiseaux chapardeurs qui ont volé ces précieuses pensées qui m’envahissent. Elles remontent des orteils, elles glacent les veines de mes cuisses, elles font crépiter le bas de mon ventre et remplissent mon estomac d’un vide compact. Puis elles le retournent, elles l’écrasent et je me sens si mal, elles remontent et débordent dans le vide, là où n’est plus mon cœur, elles font exploser ma cage thoracique qui s’en va dans tous les sens, mes côtes transpercent ma peau. La nausée m’envahit. Mes poumons explosent, ils remontent dans ma gorge. Celle-ci, trop étroite, se resserre encore et fait barrage à mes pensées. Je m’étouffe et mes idées ne viennent plus jamais. Elles redescendent alors dans mon bras qui frémit, puis dans la paume de ma main qui me picote dangereusement. Je saisis mon crayon et je t’écris tout ça, même si tu ne le liras jamais, même si cela ne te regarde pas, et même si je ne veux pas que tu le saches parce que je ne suis plus un homme, je ne suis plus rien. Mais je n’ai pas le choix. Mes pensées sont de glace ou de cristal. Elles transpercent mon corps de toute part, elles me font tant souffrir.
Je m’arrête un instant pour tenter de te dire de t’en aller, et je m’entends dire ces mots qui me ressemblent si peu. Je t’aime, je ne peux pas vivre sans toi. Va chercher mon cœur là bas s’il te plait, conserve le avec soin dans le creux de tes mains, ramène-le moi et je t’en donnerai un peu, tu pourras en garder à jamais entre les formes de tes minuscules seins. Va, il est loin, mais je t’attendrai, je peux vivre un peu encore j’ai déjà vécu si longtemps. Je saigne mais je peux survivre un moment. Va, je t’aime encore plus si je pense que c’est toi, et toi seule qui pourra me sauver sans mourir à ma place. C’est là-bas, près de lui, il y a elle, mais il faudra d’abord le convaincre pour pouvoir l’approcher. Il faudra la forcer à te rendre mon cœur, elle l’a volé. Attention ne te trompe pas, le mien est d’un rouge violacé, il est percé par plusieurs endroits. Il saigne à flot et il te tâchera les mains. Il te faudra l’arracher puis bien en prendre soin. Si tu caresses les veines palpitantes je t’aimerai plus encore, ce sera si doux et si léger. Tu pourras tendrement retirer chacune des épingles qui y sont plantées, tu le feras délicatement pour ne pas me blesser. Fais attention à moi, c’est ma vie que tu tiendras dans tes mains et tu pourrais l’anéantir si tu habites quelque rage. Mais je te fais confiance, prouve moi que j’ai raison, donne moi l’occasion de t’aimer pour de vrai, à ta juste valeur. Tu soulèveras une oreillette, et en dessous bien au chaud tu te verras. Dans l’aorte ce sera elle, tu pourrais retirer chaque racine qu’elle a plantée en moi, mais j’aurais mal alors ne le fais pas, je t’en conjure. Agrippé aux parois du sillon ce sera lui qui me griffera, lui qui me fait si mal, tu pourras l’écraser lentement entre ton index si fin et ton pouce si mignon. Ce sera un soulagement pour moi, une victoire pour toi. Tu verras, la vie a du bon.
Je n’ai rien voulu dire de tout cela mais tu m’as écouté et c’est trop tard désormais, tu es déjà sur leurs traces. Mon cœur reviendra peut-être, je survivrai si tu te dépêches. Je t’ai fait tant de promesses, j’espère les tenir mais j’ai peur déjà car tout recommence. Le monde reprend quelques couleurs alors que moi je suis si pâle. Le ciel est si bleu et le soleil m’éblouit. Il brille et ne s’éteint jamais. Il voyage autour du monde, il n’est pas amoureux, il n’est pas malheureux. Ma main voudrait serrer la tienne mais c’est sur le vide qu’elle se referme. Je me sens si seul, seul comme jamais et j’ai peur, ma vie, mon cœur, mon bonheur sont entre tes mains et je ne sais plus si je dois te faire confiance. Même après voudras-tu bien de moi ? Je t’ai fait tant de mal, j’ai peur que tu me haïsses. Le ciel vacille, la Terre remue dans tous les sens. J’ai le mal de mer, allongé sur le sol, je dégueule tout ce que je ne peux plus voir par terre, je meurs dedans, dans mon sang et mes regrets qui sont sortis de l’estomac. Je n’ai rien mangé d’autre que du noir, du désespoir et de la haine depuis tant d’années, ma digestion a mal tourné. Peut-être que l’amour et l’eau fraîche sont finalement de meilleurs sentiments, peut-être aussi intenses et un peu moins douloureux.
Mon cerveau ne fonctionne plus, je ne pense plus à rien, sauf à toi et tes courbes gracieuses. Tes mains fines et blanches, tes poignets délicats, tes bras entre lesquels ma tête se logeait si souvent. Ta poitrine à la peau claire, ton ventre plat, tes minces mollets. Tes chevilles, tes pieds, tout le long de ton corps je descendais, tout en toi m’accaparait, tu me hantes encore. Ton visage dont je connais chaque détail, tes yeux si grands, tes pupilles écarquillées, tes iris bleus et parsemés d’étoiles. Tes longs cils battants, caressant ma joue si près d’eux. Ton nez retroussé et tes joues creusées par les larmes, mouchetés de taches rousses que ni l’eau ni le temps ne peuvent effacer. Toi, ton âme, ton corps, mais surtout ton amour débordant.
Je t’attends depuis longtemps déjà. Je sens que mon cœur bat entre tes mains, mais moi je pars, je vole là haut loin au dessus de toi. Tu cours, tes ongles plantés dans mon cœur lacéré et mourant, déchiré de toutes parts. Tu dégoulines de mon sang rouge d’amour et de douleur, tu pleures, tes larmes roulent sur tes joues et brûlent mes plaies. Mon cœur est consumé, c’est terminé désormais. La vie est belle mais elle est si courte. Tu t’agenouilles à mes côtés et tu déposes mon cœur sur ma poitrine. Il saigne encore, il imbibe mes vêtements. Humides, ils collent à ma peau, j’ai l’impression d’être si près de toi. Tu déposes ta tête dans le creux de mon cou, tes cheveux mouillés de larmes et salis de mon sang glissent sur ma joue. Ta chaleur se répand dans mon corps, tout à côté me paraît dérisoire. Je meurs mais je t’aime tellement.
C’est trop tard, le goût amer de la mort se répand dans ma bouche, c’est dans tes bras que je rendrai mon dernier souffle. Il ne te reste plus qu’à les chercher une nouvelle fois pour moi. Venge nous, je t’aime, et je ne t’oublierai pas.
Padma- Ecrivain
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Re: Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Milie Mer 4 Juin - 20:54
Ah! Tu l'as mis!
Bon, bah j'ai déjà tout dit!
Bonsoir!
Bon, bah j'ai déjà tout dit!
Bonsoir!
Milie- Correctrice
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Age : 31
Date d'inscription : 02/06/2008
Re: Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Aria Mer 4 Juin - 21:02
Wow !
je dois avouer que ce n'est pas mal, malgré une certaine (mais très légère) lourdeur dans tes propos.
Néanmoins, l'idée est bonne et bien détaillée.
Toutes mes ficelles de caleçon !
je dois avouer que ce n'est pas mal, malgré une certaine (mais très légère) lourdeur dans tes propos.
Néanmoins, l'idée est bonne et bien détaillée.
Toutes mes ficelles de caleçon !
Aria- Correctrice
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Date d'inscription : 21/11/2007 -
Re: Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Padma Mer 4 Juin - 21:26
Depuis quand tu mets des caleçons ? 
Merci en tout cas...ce n'est certes pas mon meilleur texte...c'est le texte que j'avais fait pour le cours de français ! Et je reconnais qu'il est lourd par moments. Mais bon il faut bien s'essayer à tous les genres et ce sont les erreurs qui font progresser . :)
Merci de m'avoir lue...
PS : Milie ton message sert à rien
Merci en tout cas...ce n'est certes pas mon meilleur texte...c'est le texte que j'avais fait pour le cours de français ! Et je reconnais qu'il est lourd par moments. Mais bon il faut bien s'essayer à tous les genres et ce sont les erreurs qui font progresser . :)
Merci de m'avoir lue...
PS : Milie ton message sert à rien
Padma- Ecrivain
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Date d'inscription : 03/06/2008
Re: Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Sehaltiel Jeu 5 Juin - 10:56
Moi aussi, je viens de lire ton texte.
Bon, qu'on soit bien d'accord sur un point, les histoires dégoulinantes d'amour, moi, j'aime pas.
Mais je dois avouer que tu écris plutôt assez bien, même si comme le dit Aria, y'a des trucs un peu lourd.
Par exemple, ça m'a surpris quand j'ai lu ce que tu disais sur l'aorte, les oreillettes, et tout le bordel. Je trouve que ça casse la côté "amour"... Enfin, c'est mon point de vu.
Ah, et aussi, là:
"Celle-ci n’était plus vraiment vécue par aucun de nous. C’est l’amour qui la prend et qui s’en repaît"
Pourquoi t'as changé de temps ? Tout le début est à l'imparfait, et d'un coup tu passes au présent... Y'aurais une transition que j'ai pas compris... ?
Sinon, par rapport à ce que t'as dis, c'est un genre que t'as pas beaucoup essayé, donc ça veut dire que tu fais autre choses que des histoires d'amour ?
Ah ba ça, c'est cool ^^
Bon, qu'on soit bien d'accord sur un point, les histoires dégoulinantes d'amour, moi, j'aime pas.
Mais je dois avouer que tu écris plutôt assez bien, même si comme le dit Aria, y'a des trucs un peu lourd.
Par exemple, ça m'a surpris quand j'ai lu ce que tu disais sur l'aorte, les oreillettes, et tout le bordel. Je trouve que ça casse la côté "amour"... Enfin, c'est mon point de vu.
Ah, et aussi, là:
"Celle-ci n’était plus vraiment vécue par aucun de nous. C’est l’amour qui la prend et qui s’en repaît"
Pourquoi t'as changé de temps ? Tout le début est à l'imparfait, et d'un coup tu passes au présent... Y'aurais une transition que j'ai pas compris... ?
Sinon, par rapport à ce que t'as dis, c'est un genre que t'as pas beaucoup essayé, donc ça veut dire que tu fais autre choses que des histoires d'amour ?
Ah ba ça, c'est cool ^^
Dernière édition par Sehaltiel le Jeu 5 Juin - 13:10, édité 2 fois
Sehaltiel- Ecrivain international
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Age : 34
Date d'inscription : 07/12/2007 -
Re: Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Pug Jeu 5 Juin - 12:59
Bon je dois t'avouer que je n'ai pas tous lus. Pourquoi 
car il y en a trop et comme dit
Moi aussi je trouve ca lourd, phrases très courte, beaucoup de question, et tu décris tu décris encore et encore les sentimetns du héros et l'amour j'aime bien, mais trop d'amour tue l'amour (en tous cas d'en une histoire )
Mais ce n'est que mon avis, moi je n'aime pas ce style là, mais celà à son public.
car il y en a trop et comme dit Aria a écrit:malgré une certaine (mais très légère) lourdeur dans tes propos.
Moi aussi je trouve ca lourd, phrases très courte, beaucoup de question, et tu décris tu décris encore et encore les sentimetns du héros et l'amour j'aime bien, mais trop d'amour tue l'amour (en tous cas d'en une histoire
) Mais ce n'est que mon avis, moi je n'aime pas ce style là, mais celà à son public.
Pug- Admin
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Date d'inscription : 09/11/2007 -
Re: Mon cœur, dans le creux de tes mains
par Padma Jeu 5 Juin - 19:29
Eh bien comme je l'ai dit il faut s'essayer à tout...en vérité il est très rare que j'écrive des textes qui parlent de l'amour purement et simplement comme cela. Et c'est vrai qu'à force d'en parler, sur toutes ces lignes encore et encore, c'est lourd. Mais quand je l'ai écrit c'était plus pour l'écrire qu'autre chose, alors voilà, c'est fait, j'aurais essayé, je me serais plantée aussi Merci pour vos conseils, la prochaine fois que j'essayerai ce style là je m'appliquerai ^^
Merci pour vos conseils, la prochaine fois que j'essayerai ce style là je m'appliquerai ^^
Padma- Ecrivain
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Date d'inscription : 03/06/2008
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